La vie de Saint Dié était ponctuée par des fêtes qui sont encore bien ancrées dans la mémoire des résidents.
Les deux grandes fêtes duraient trois semaines : la première, le premier dimanche avant le 14 juillet et la deuxième, pour la Saint Martin, le 11 novembre.
« on invitait nos familles pour aller ensemble à la fête, sur les manèges. Il y avait les cris-cris, les chevaux de bois, les stands de tir, la pêche à la ligne, la chenille qui passait dans un tunnel et la grande roue de Paris »
« moi, je n’y allais pas, je n’avais pas la permission et puis j’avais pas les moyens »
« on était gourmands : on mangeait des pommes d’amour, du nougat, de la guimauve, des berlingots »